La glande thyroïde

Description, fonction et signification

La glande thyroïde (glandula thyroidea) est une glande à sécrétion interne qui fait une partie du système endocrinien et sécrète plusieures hormones essentielles pour soutenir l'homéostasie de l’organisme.

La glande thyroïde (ou simplement une thyroïde) est un organe symétrique composé de deux lobes et d'un isthme. Les lobes droite et gauche sont situées contre la trachée et reliées en avant par l'isthme. Certains auteurs parlent aussi de la lobe pyramidale de la thyroïde. Dans l'état normal (euthyroïdien) la glande thyroïde pèse du 20 à 65 g; le volume des lobes dépend des caractères sexuelles et d'âge et peut varié assez considerablement. Le volume et le poids de la glande thyroïde augmentent pendant la puberté et diminuent naturellement chez les âgés. La glande thyroïde augmente aussi provisoirement chez les femmes enceintes pour reprendre le volume normal naturellement 6-12 mois après l’accouchement. 

Dans la glande thyroïde on voit une synthèse de deux hormones qui contiennent de l'iode – la thyroxine (Т4) et la triiodothyronine (Т3) et d’une hormone peptide – la calcitonine. L’acide aminé - la tyrosine – s’accumule dans les tissus de la glande thyroïde pour en former un dépôt et y rester dans la forme de la protéine – la thyroglobuline (le matériel de la construction utilisé pour la synthèse des hormones thyroïdiennes). La présence de l’iode moléculaire et la participation de l’enzyme de la peroxydase thyroïdienne donnent la synthèse des hormones T3 et T4. La thyroxine (Т4) et la triiodothyronine (Т3) se synthétisent dans la partie apicale de l’épithélium thyroïdien. La calcitonine (la thyrocalcitonine) est formée par les glandes parathyroïdes ainsi que par les C-cellules de la glande thyroïde.

Les hormones de la glande thyroïde sont les régulateurs principaux de l’homéostasie de l’organisme. Avec leur participation directe les processus métaboliques se déroulent dans les tissus et les organes, les nouvelles cellules se forment et leur différentiation structurelle se passe ainsi que la mort génétiquement programmée de vieilles cellules (l’apoptose). Un autre fonction également important des hormones thyroïdiennes dans notre organisme est le soutien de la température corporelle et la création de l’énergie (le soi-disant effet calorigène). Les hormones de la glande thyroïde régularisent la consommation de l’oxygène dans l’organisme par les tissus ainsi que les processus de l’acidification et de la création de l’énergie et surveillent la formation et la neutralisation des radicaux libres. A longueur de vie les hormones thyréotropes influencent l’évolution mentale, psychique et physique de l’organisme. Le déficit des hormones dans la plus tendre enfance amène le retard de croissance et peut devenir une cause de la pathologie du tissu osseux. Leur déficit pendant la grossesse augmente considérablement le risque du myxœdème congénital chez un futur bébé  en raison de l'immaturité du cerveau pendant la période anténatale. Les hormones de la glande thyroïde sont aussi responsables pour le fonctionnement normale de l’immunité – elles stimulent les cellules du système immune, les soi-disant T-cellules avec l’aide desquelles l’organisme réagit contre l’infection.

Le diagnostic des maladies de la glande thyroïde

Le diagnostic des patients avec des états pathologiques de la glande thyroïde doit comprendre les procédés physiques, instrumentaux et laboratoires  de l’évaluation de sa structure morphologique et l’activité fonctionnelle. Par exemple, la palpation (la palpation tactile avec les doigts) de la glande thyroïde permet d’apprécier sa quantité, la consistance du tissu thyroïdien et la présence ou l’absence des formations nodales). Aujourd’hui le procédé laboratoire le plus informatif du point de vue de l’analyse de la concentration des hormones thyroïdiennes dans le sang est un analyse enzymatique avec l’aide des combinaisons des essais standards. En outre, l’état fonctionnel de la glande thyroïde est évalué en prenant en compte l'absorption de l’isotope 131I ou du technétium 99mTc. Les méthodes modernes de l’évaluation de la structure de la glande thyroïde comprennent aussi le diagnostic ultra-sonore, le scanographe, la thermographie et la scintigraphie. Ces méthodes permettent d’obtenir l’information sur la quantité de l’organe et le caractère de l’accumulation de la préparation radio-contrastée par les secteurs différents de la glande. Avec l’aide de la biopsie à aiguilles par aspiration on prend les cellules de la glande thyroïde pour les analyser et examiner.

Il faut noter qu’avec tout l'éventail des méthodes du contrôle laboratoire de l’état de la glande thyroïde les méthodes du diagnostic les plus vites sont les essais appelés à déterminer le contenu des formes libres/associés des hormones T3 et T4, des para-topes vers la thyroglobuline et vers la peroxydase thyroïdienne ainsi que le niveau de l’hormone thyréotrope dans le plasma sanguin. En outre, parfois on fait cet analyse pour établir l’excrétion urinaire de l’iode. Cet examen permet d’établir s’il y a une pathologie de la glande thyroïde associée avec le déficit de l’iode.

Les maladies les plus répandues de la glande thyroïde

Il y a un grand nombre des maladies différentes de la glande thyroïde. Presque toutes les maladies peuvent être distribuées aux trois grands groupes selon les traits des changements du fonctionnement de l’activité de la glande thyroïde.

  1. Les maladies accompagnées du synthèse accru et/ou la sécrétion des hormones de la glande thyroïde. Avec ces pathologies on parle de la thyrotoxicose.
  2. Les maladies accompagnées de la réduction des hormones de la glande thyroïde (Т3, Т4) et/ou la réduction du niveau de leur concentration dans le sang. Dans ce cas là on parle de la hypothyroïdie.

3. Les maladies de la glande thyroïde sans changements de l'activité fonctionnelle qui sont caractérisées seulement par les changements morphologiques de la structure de l'organe (la formation du goitre, la formation des nœuds, l'hyperplasie etc.).

L'hypothyroïdie (l'hypofonction) est un état caractérisé par une réduction du niveau des hormones de la glande thyroïde qu'on trouve chez 19 femmes des 1000 et chez 1 homme des 1000. L'hypothyroïdie ne se découvre souvent pendant longtemps parce que les symptômes de la maladie se développent très lentement et en même temps les malades ne crient pas état de santé. En outre, les symptômes de l'hypothyroïdie peuvent être non spécifiques et la maladie peut se dérouler en cachette sous un « masque» de tout un éventail d'autres maladies ce qui mène, par conséquence, au diagnostic faux et la thérapie erronée de cette pathologie.

En cas du déficit chronique des hormones thyroïdiennes dans le corps humain tout les processus métaboliques se relantissent pour réduire la formation de l’énegrie et de la chaleur. Les traits cliniques du développement de la hypothyroïdie sont:

  • La fatiguabilité,
  • L’asthénie,
  • L’aptitude au travail réduite,
  • La déterioration du mémoire,
  • La frilosité,
  • L’oedème,
  • La prise de poids rapide,
  • Le peau sèche,
  • Les cheveux ternes et fragiles.

Chez les femmes l’hypothyroïde peut devenir une cause des troubles des cycles menstruels, de la ménopause précoce. Un des symptômes le plus fréquant est une depression qui conduit les malades chez un psychologue ou un psychiatre.

La thyrotoxicose (une hyperfonction) est un état clinique caractérisé par le niveau élevé des hormones thyroïdiennes dans le sang ce qui accelère tout les processus métaboliques dans le corps. Les symptômes classiques de la thyrotoxicose sont:

  • L’éréthisme et l’emportement,
  • La réduction du poids accompagnée d’un appétit robuste,
  • Le pouls fréquant accompagné parfois par la cardiataxie,
  • Les troubles de la vigilance,
  • La sudation excessive permanente,
  • La temperature du corps élevée.

Parfois, surtout chez les personnes agées, on trouve pas les symptômes mentionnés ci-desus, et les patients associent leur état pas avec une maladie quelconque mais avec des changements naturelles de l’organisme avec l’âge. Ainsi, par exemple, la diacausie et les «afflux» qui sont les symptômes classiques de la thyrotoxicose peuvent avoir les traits considerés par les femmes comme les marques de la ménopause.

La formation du goître – l’accroissement de l’organe plus du volume admissible (le volume normal chez les hommes – 9-25ml, chez les femmes 9-18ml) – est le phénomène assez répandu chez les patients avec les maladies de la glande thyroïde. Dans l’état euthyroïdien la glande thyroïde s’accroit un peu chez les adolescents ainsi que chez les femmes enceintes et après la ménopause. Suivant le fait si tout l’organe ou une partie de celui-ci s’accroît on fait la difference entre le goître diffus ou le goître nodal. 

Les causes du dévéloppement des maladies de la glande thyroïde

Certainement les facteurs génétiques jouent un rôle important dans le dévéloppement des maladies de la glande thyroïde. Ces facteurs définissent une disposition chez un homme à contracter des maladies. Mais en outre le rôle des facteurs exterieurs stressant est incontestable dans le dévéloppement des patologies thyroïdiennes. Y compris:

  • Les hyper-états psycho-émotionnels,
  • Les troubles de nutritions que ménent au déficit des vitamines et/ou des micro-éléments (y compris le déficit de l’iode),
  • L’environnement adverse écologique et radiologique,
  • Les infections,
  • Les maladies chroniques,
  • La prise des certains remèdes etc.

Ces facteurs propres sont les moteurs des maladies de la glande thyroïde.

Simplement dit, le corps humain est toujours sous l’influence des facteurs divers qui forcent la glande thyroïde de produire le nombre élevé ou reduit des hormones. A cause de cela cet organe du système endocrinien «se râpe» et «s’ éteignt», il devient incapable de synthétiser le nombre optimal des hormones T3 et T4 dont le corps humain est besoin. Finalement on voit le dévéloppement des troubles fonctionelles chroniques (l’hypo- , l’hyperthyroïdie) ou les changements morphologiques des sa structure (la formation du goître, des neouds, l’hyperplasie etc.).

Les moyens et les méthodes traditionnels du traitement de la glande thyroïde

Les troubles hormonales du fonctionnement de la glande thyroïde qui se manifestent en forme de l’hyper- ou l’hypothyroïdie sont traitées traditionnellement avec l’aide des préparations médicalentales chimiques. Les changements de la structure de la glande thyroïde, y compris les formes nodales, - en cas de suspicion de malignité ou en cas de difficulté d’avalement ou de respiration – sont traités par l’intevention opératoire (l’exérèse, la thyrodictomie).

En Russie on utilise le plus souvent les monopréparations des hormones de la glande thyroïde, y compris les moyens médicamenteux comme la thriiodothyronine et la thyroxine ainsi que leurs combinaisons et les complexes avec de l’iode non-organique (l’iodethyroxe, la thyrotome, la thyrocombe). Ces médecines complètent le déficit des hormones propres de la glande thyroïde et sont prises d’habitude au long de la vie. Cette méthode du traitement de la glande thyroïde s’appelle l’hormonothérapie par compensation. Le défaut principal de cette méthode est le refrènement du synthèse des hormones thyroïdiennes propres par la glande thyroïde en raison duquel une patient devient dépendant de l’hormonothérapie par compensation et ne peut plus vivre sans comprimés. Parmi d’autre effets secondaires de l’hormonothérapie par compensation il faut souligner l’apparition des allérgies à des hormones synthétiques, les troubles du rythme cardiaque, des troubles nerveux.

La deuxième catégorie des préparations largement utilisées pour traiter les maladies de la glande thyroïde sont les thyrostatiques, autrement dit, les remèdes perturbant le processus du synthèse, de la production et du sécrétement des hormones thyroïdiennes dans le sang. Ce groupe des médecines comprend les dérivés du thyamasole (le thyrosole, le mércasolil), les dérivés du thyo-outracile (le propicile) ainsi que diiodotyrosine. Traditionallement les thyrostatiques sont prises pour réduire la production élevée des hormones de la glande thyroïde. Or, il faut prendre en compte qu’après cette thérapie corrective le tissue thyroïdien de la glande thyroïde s’atrophie, l’activité fonctionelle de l’organe réduit considerablement et dans certain temps une patient est obligée de se tourner vers l’hormonothérapie par compensation.

Les médicaments prospectifs pour traiter les affections de la glande thyroïde

Hormis les préparations chimiques médicinales il y en a en Russie tout un nombre des préparations végétales, plutôt en forme des additifs biologiques qui sont autorisées à consommer et  utilisées pendant le traitement intégré des affections de la glande thyroïde. Les additifs biologiques de ce groupe peuvent être triés selon leur composition dans la manière suivante:

  • Ceux qui ne contiennent que de l'iode (l'iode est trouvé en forme inorganique ou organique);
  • Ceux qui contiennent de l'iode en combinaison avec d'autres composants végétaux;
  • Les préparations entièrement végétales.

Les complexes contenant de l'iode n'ont pas de grand effet thérapeutique et en conséquence sont de l'utilisation limitatif.

La publicité ou les pharmacies offrent très souvent à leurs clients de nombreuses  formes des additifs biologiquement actifs contenant des parties morcelées fins des plantes médicinales. Cette forme du retraitement des matières premières végétales est de petite efficacité pour plusieurs causes. Il est bien connu que le contenu des agents biologiquement actifs (les ABA) dans les extraits est 5-10 fois plus que dans la matière première dont les extraits sont faits. Ainsi pour obtenir l'effet thérapeutique analogique il faut prendre au minimum 5-10 fois plus des unités des matières premières (mg, g) que de l'extrait. En outre, les producteurs malhonnêtes mettent dans les préparations les morceaux fins des plantes qui n'ont à l'avance aucun effet pharmacologique. La phytopharmacie connait bien le phénomène de l'accumulation organospéfique des ABA (par exemple, les racines contiennent une forte teneur des agents actifs mais leur contenu dans les herbes est 0%). Les producteurs des bio-additifs utilisent cette pratique délibérément comme une carotte pour les consommateurs mal-informés. Il faut aussi souligner que la consommation des bio-additifs contenant des morceaux fins des plantes est souvent dangereux pour la santé des consommateurs (une grande dissémination microbe des matières premières amène à des phénomènes dyspeptiques en prise; notamment l'estomac chargé, la distension abominable, le météorisme, la nausée, les tranchées et l'aggravation des maladies gastriques et intestinales ainsi que les constipations, le dyspéristaltisme, l'appendicite) etc. La faille principale des ces remèdes est une bio-accessibilité maigre des agents biologiquement actifs des matières premières végétales pleines et une forte concentration des agents de ballast qui réduit considérablement l'effet pharmacologique de la consommation de ces préparations.

Aujourd'hui une préparation ENDONORM® cause l'intérêt supérieur parmi les docteurs cliniciens, surtout les endocrinologues et les gynécologues endocrinologues. Grâce au contenu des extraits des plantes végétales cliniquement approuvés cette préparation a une forte efficacité thérapeutique en cas des maladies de la glande thyroïde comme une hypo- et hyperthyroïdie, une thyroïdite auto-immune, une goitre nodulaire/multi-nodulaire ainsi que d'autres violations de l'activité de la glande thyroïde.

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